Le nom qui efface la couleur : Israel Ariño

La serie Le nom qui efface la couleur gira alrededor de lo posible, de la posibilidad de ser una cosa u otra, de caer o volar, de permanecer o desaparecer…, y en general, de esa libertad intrínseca que posee el hombre y que le coloca en un mundo de contingencias, obligándole a elegir entre una y otra.

El proyecto se llevó a cabo en Le Blanc- el lugar en el que se desvanece el color –donde se puede contemplar los resquicios de ese territorio tan frecuentemente olvidado, su fondo granítico y también sus apariciones más fugaces.

Esta serie es la consecuencia de una abstracción, de un estado mental particular en el que explorar los límites de la fotografía, un umbral desde donde asistir a la generación de un nuevo tipo de lugar, de carácter más vago y ambiguo pero al mismo tiempo más comprometido con un territorio colmado de sentimiento, metáfora y lenguaje..

La serie Le nom qui efface la couleur se realizó en el transcurso de una residencia de artista en Nature Humaine, en la región Centre de Francia.

La série Le nom qui efface la couleur s’articule autour de l’idée du possible, de la possibilité d’être une chose ou une autre, de tomber ou voler, de rester ou disparaître… en définitive, de cette liberté qui appartient à l’homme et l’oblige à choisir entre différentes propositions.

Le projet a eu lieu au Blanc –l’endroit qui efface la couleur- où l’on peut contempler les lisières d’un territoire oublié, son caractère granitique, mais aussi ses apparences plus fugaces.

Cette série est le fruit d’une abstraction, d’un état particulier où l’esprit s’ouvre à l’exploration des limites de la photographie pour assister à l’émergence d’un nouveau lieu, plus vague et ambiguë mais en même temps plus conforme à ce territoire chargé de sentiment, de métaphore et de langage.

La série Le nom qui efface la couleur a été réalisée dans le cadre d’une résidence d’artiste de l’association Nature Humaine, en région Centre, France.

The series, Le nom qui efface la couleur, revolves around what is possible, around the possibility of being one thing or another, of falling or flying, of remaining or vanishing, and in general, around man’s intrinsic freedom, which places him in a world full of options, forcing him to choose between one or another.

The project was carried out in Le Blanc – the place where colour fades away – where one can look through the gaps in that so frequently forgotten territory, at its granite base, as well as its fleeting appearances.

Le nom qui efface la couleur is almost an abstraction, a state of mind in which to explore the limits of photography, a threshold from which to witness a new type of place coming into being, more indistinct and ambiguous but at the same time more involved in a territory rich in sentiment, metaphor and language.

The series, Le nom qui efface la couleur, was produced during a stay as artist-in-residence in Nature Humaine, in the Centre region of France.